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Un marché déjà significatif et amené à croître
Les achats de cosmétique naturelle sont déjà répandus puisqu’ils concernent 3 Français sur 5; le potentiel est élevé avec plus de 7 Français sur 10 intentionnistes. Les soins du visage ont été les plus achetés par presque 28 millions de Français devant les soins du corps, déodorants et produits de toilette, soit environ 440 millions d’unités de produits de cosmétique naturelle vendues au cours des 12 derniers mois. Un marché amené à croître à court terme pour atteindre près de 32 millions de Français.
Réassurance, qualité et environnement, des éléments clés pour ces acheteurs-experts
L’aspect sain, la qualité et la confiance motivent les acheteurs de produits de cosmétique naturelle, qui souhaiteraient idéalement une composition à près de 90% naturelle et pour qui la consommation responsable est également une valeur forte. Sans parabènes, sans allergènes et sans bisphénol A constituent le top 3 des mentions les plus rassurantes et décisives à l’achat et parmi les indications les plus recherchées sur les packagings. Des éléments clés pour ces acheteurs dont la grande majorité recherchent des informations et se renseignent sur la composition des produits cosmétiques.
Des preuves et engagements des marques naturelles attendus pour encourager la confiance
La transparence sur les produits est le 1er axe d’optimisation souhaité par les acheteurs. Ces derniers souhaitent également être incités à recycler leurs produits et leurs emballages avec notamment la possibilité… de ne plus en avoir à l’achat. Une marque performe en tête parmi les plus connues des Français, la plus identifiée comme naturelle, la plus achetée et la plus envisagée.
Un marché à mieux définir et des freins à lever
1 Français sur 4 n’est pas en mesure d’identifier des marques de «cosmétique naturelle»; pour les 2/3, le fait qu’un produit soit naturel est un argument marketing comme un autre. Le coût est le 1er frein à la consommation de ce type de produits (aussi bien pour les acheteurs que pour les non acheteurs). Les trop faibles étendues de gammes, les circuits de distribution encore peu identifiés et les produits ne répondant pas encore totalement à leurs attentes, constituent également les freins les plus exprimés.