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Une baisse significative des achats de produits de la mer et de crevettes en 5 ans
1/3 des Français déclarent consommer moins de poissons et crustacés qu’auparavant, pour des raisons financières principalement, mais également éthiques et environnementales*. Bien que plus de 9 Français sur 10 aient consommé au moins une fois des produits de la mer au cours des 12 derniers mois, ce taux baisse de 3 points en 5 ans et la part de petits acheteurs réalisant entre 1 et 3 achats par an progresse dans le même temps au détriment des moyens et gros. L’ensemble des circuits de distribution sont impactés (à l’exception des magasins bio) dont les hyper/supermarchés où la baisse de consommation (-4pts) se répercute sur la majorité des catégories, notamment les crevettes (-11pts vs 2011). Elles demeurent pour autant en tête des produits de la mer les plus achetés dans ce circuit par plus d’1 Français sur 2, devant les poissons fumés et le surimi.
Le circuit d’achat, 1er frein de la consommation de crevettes en GMS
Le circuit hyper/supermarché est le premier frein de non achat de crevettes par les Français : 1/3 n’y pensent pas et près d’1 sur 5 n’y trouvent pas de réponse à leurs attentes et préfèrent se fournir ailleurs, auprès d’un poissonnier traditionnel ou au marché principalement. La fraicheur des crevettes est notamment l’un des points clés à améliorer pour les hyper/supermarchés selon les non acheteurs, devant l’aspect financier ainsi que la provenance et les conditions de production.
Fraicheur et budget, les attentes phares de clients de libre-service
L’Étude Crevettes en hyper/supermarchés met en évidence que la fraîcheur est le 1er critère d’achat de crevettes pour les clients des rayons libre-service en hyper/supermarchés, devançant de peu l’aspect financier. En spontané, le budget moindre et l’offre plus diversifiée sont les principales suggestions des acheteurs de crevettes, et davantage encore pour le rayon traiteur de la mer. Une fraicheur plus attendue sur le long terme pour les clients de poissonnerie LS.
L’origine géographique et les conditions de production, indications plus attendues qu’en 2011
Une importance conséquente de l’origine géographique des crevettes, déclarée élevée par plus de 2 acheteurs sur 5 et notamment dans le rayon surgelés où cette part atteint près de la moitié des clients. La proximité géographique est notamment un gage de réassurance pour les Français avec plus de la moitié des acheteurs en libre-service accordant leur confiance à la provenance Océan Atlantique. Des consommateurs également plus attentifs aux conditions d’élevage qu’en 2011 : désormais près d’1 acheteur sur 3 privilégie des crevettes sauvages / pêchées, un taux en hausse en 3 ans. La réassurance par la provenance et les conditions d’élevage sont présents dans le classement des critères d’achat déterminants, attendus par près d’1 acheteur sur 4.